Premier épisode à ne pas manquer ce soir Bêtescar en plus de Anna Oxa Et Wanda Nara, Francesca Fagnani il s’entretiendra également avec le président du Sénat. Ignace La Russa il a déclaré que s’il découvrait qu’il avait un fils homosexuel, il serait attristé d’apprendre la nouvelle.
« Un fils gay ? J’accepterais la nouvelle avec regret, car ce serait un fils qui ne me ressemblerait pas, ce serait comme s’il était fan de Milan, c’est une comparaison précise, ce que je fais. Un père hétéro aimerait que son fils lui ressemble. […] Le buste de Mussolini qui appartenait à mon père est recherché par ma sœur. Parce qu’il a cassé les cartons. Il m’a dit que papa nous l’avait laissé, pas à moi. Je n’en ai plus ».
C’est sur ‘un fils qui ne me ressemblerait pas’…
Pour Ignace #LaRussa un fils gay est désolé. Jamais égal à avoir La Russa comme deuxième bureau d’État pic.twitter.com/Sa5cbNZWPY
— radio_zek (@radio_zek) 20 février 2023
Bêtes, Ignazio La Russa : « Les femmes du centre-droit ? Le niveau esthétique a diminué ».
La Russa a également eu son mot à dire sur les femmes de droite : «Le niveau esthétique des femmes du centre-droit a baissé, la qualité a augmenté, je ne regarde pas à gauche…. J’aime le genre féminin. […] La capacité de séparer les choses importantes des choses dites dans un autre sens manque, donc je dois faire attention, mais je dis que ce serait bien de faire des blagues, je déteste le politiquement correct“.
Ignazio La Russa, les opinions sur le DDL Zan.
Il y a un an à L’Aria Che Tira sur La7, Ignazio La Russa avait également son mot à dire sur DDL Zan : «Il y a un problème spécifique avec cette conception. Le problème avec cette loi n’est pas qu’elle défende la discrimination, ce qui pourrait être accepté. Le problème avec cette loi est qu’elle discrimine les opinions de ceux qui ne sont pas d’accord avec les faits. La première loi au monde qui limite la libre expression des idées et des positions. Nous sommes ruinés, nous ne voulons pas de limites illibérales à la possibilité de parler. Pour le reste, il n’y a pas une telle urgence. Chaque année il y a 26 rapports et donc le problème ne se pose pas vraiment“.