Après avoir passé plus de 20 ans à la Rai, en 2014 Mara Venier a atterri chez Mediaset un Tu Si Que Vales et puis aussi à L’île des célèbres. La présentatrice de l’événement « Gli Incontri del Principe », au Grand Hôtel Principe di Piemonte de Viareggio, a parlé de cette période et de la façon dont elle a été accompagnée jusqu’à la porte par un directeur de la Rai parce qu’elle était « trop vieille ».
« Quand la Rai m’a rappelé parce que Domenica In tremblait, il y a cinq ans, quelques années plus tôt, ils m’avaient renvoyé parce qu’ils disaient que j’étais trop vieille, alors je ne veux pas parler de la Rai, parce que c’était ce directeur de Rai Uno qui l’a dit. Quand au bout de quatre ans on te rappelle et te dit que tu dois revenir, je reviens, parce que j’ai été humilié et je veux me racheter, si je peux le faire. Et c’était comme ça et j’ai vraiment retiré les cailloux de mes chaussures, parce que c’était la rédemption qui ne concerne pas quelqu’un qui travaille à la télévision, mais toutes les femmes, parce que beaucoup de femmes sont humiliées, parce que ce n’est pas comme si tu ‘ à 60 ans, tu dois être expulsé ».
Et je dirais qu’il a pris sa revanche.
pour moi, c’est la relation qu’entretiennent tante Mara et Tananai ❤️🥹 #DimancheIn pic.twitter.com/29zZ1MYDK7
— Lucrezia ☼ 25/09 (@diecimilascaIe) 12 mars 2023
Mara Venier, l’entretien à oublier et celui nuancé.
Tante Mara a également parlé de quelques rencontres célèbres, dont elle ne se souvient pas avec tendresse, celle avec Arnold Schwarzenegger: « J’ai dû l’interviewer. Il arrive au Grand Hôtel de Rome, j’avais le traducteur, il avait le casque et il s’est énervé. Et ce qui m’énervait beaucoup, c’était qu’il enlevait son écouteur et le jetait par terre. Et puis un technicien le récupérait et le lui remettait. Il l’a fait trois fois. Je me suis tourné vers le producteur et lui ai dit : « La prochaine fois que je me lève et que je pars, dis-lui de ne plus jeter l’écouteur par terre. Il ne l’a pas refait et l’interview s’est terminée« .
Une interview nuancée plutôt avec Madone: « A Rome, nous devions enregistrer une interview à deux heures de l’après-midi. A sept heures, elle ne la voyait toujours pas, elle était enfermée dans sa suite. Je suis parti. A neuf heures du soir, la secrétaire de Madonna m’a appelé pour m’excuser et m’a dit si nous pouvions faire l’interview à onze heures du soir. J’ai répondu : « Ecoute, je vais dormir, je suis désolé, et je n’ai pas fait l’interview de Madonna ».« .
Malgré ce désagrément, Venier reste une madone convaincue…