Pour la séparation d'avec Fedez, Ferragni s'est appuyé sur le cabinet d'avocats qui a suivi les divorces de Berlusconi et Corona

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Chiara Ferragni a déjà confirmé que la rupture avec Fédez il ne s’agit pas d’une démarche stratégique visant à détourner l’attention du cas Balocco («C’est offensant de penser ça“, a-t-il déclaré), il n’est donc pas surprenant qu’il ait déjà choisi le cabinet d’avocats qui s’occupera du divorce. Comme le rapporte Salon de la vanité il aurait choisi l’une des meilleures de Milan, à savoir Missaglia De Vellis.

Le cabinet est composé de deux célèbres avocats spécialisés en divorce : Daniela Missaglia et Valeria De Vellis qui, au cours de leur carrière, ont géré la séparation entre Silvio Berlusconi et Veronica Lario et la plus récente entre Fabrizio Corona et Nina Moric. Ils ont également traité le procès d’Ambra Angiolini contre Silvia Slitti. Bref, deux noms qui font la une des journaux.

En détail Chiara Ferragni il sera suivi par Daniela Missaglia. « Missaglia rejoint donc l’équipe d’avocats qui suivraient apparemment Ferragni dans cette période particulièrement compliquée de sa vie, marquée par son éloignement d’avec Fedez et l’enquête ouverte sur la désormais célèbre affaire Pandoro.« , il a écrit Page de fan.

Ferragni en pause avec Fedez

« Ce n’est pas une stratégie de sortie et c’est aussi assez offensant que les gens pensent cela » – ses mots à Cinquième après-midi – « La reconstruction ? Mais ce ne sont que des conneries, ce qu’ils écrivent ne sont pas vrais et c’est très offensant. »

La stratégie de sortie : l’article sur Oggi

« On parle d’une stratégie de sortie. Ferragni, assure une source proche du couple, commence à réfléchir à une stratégie de sortie pour détourner l’attention des ennuis juridiques. Deux hypothèses sont sur la table : poursuivre et annoncer une troisième grossesse ou communiquer la fin de l’histoire. Elle choisit la seconde (qui a pour effet instantané de « occulter » le fait qu’aucune marque ne l’a invitée à la Fashion Week de Milan). Mais pour que son image ne subisse pas de nouveaux chocs, la « responsabilité » doit retomber sur Fedez, coupable de ne pas avoir rendu la pareille au soutien qu’il a reçu lorsqu’on lui a diagnostiqué la maladie. Selon l’accusation, il aurait apporté une aide discutable : d’abord une défense délabrée (avec l’attaque des journaux qui, au lieu de féminicides, traitent de pandors), puis une mise à distance progressive. Jusqu’au but contre son camp du podcast Muschio Selvaglio avec les déclarations de Marco Travaglio ».