Rocco Siffredi : « Je ne parle plus à mon frère Tommaso Tano », puis il révèle le moment le plus douloureux de sa vie

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Rocco Siffredi il a eu une vie très mouvementée et ces dernières semaines, à l’occasion de la sortie de la série Netflix sur sa vie, il donne de nombreuses interviews où il s’ouvre et parle pour la première fois de sa famille.

Ses parents, comme nous le savons, sont tous deux morts, tout comme son frère Claudio, décédé d’une crise d’épilepsie alors qu’il était adolescent. Une blessure qui n’a jamais cicatrisé.

« Claudio était épileptique et est mort étouffé dans son sommeil à cause d’une crise. J’étais en dernière année de maternelle lorsqu’un jour j’ai été récupéré par une dame que je ne connaissais pas, elle m’a ramené à la maison et j’ai entendu des cris. C’était ma mère. Je me souviens que mon père arrivait avec sa Vespa et sa casquette de cantonnier, regardant vers le balcon avec un regard que je n’ai jamais oublié : il a tout de suite compris. Dès l’âge de six ans, j’ai vécu avec une mère rendue folle par le chagrin. Quand il m’a cassé des choses, j’ai pensé qu’il devait évacuer cette douleur quelque part. Je l’ai toujours compris. »

Dans cette histoire, écrite entre les pages de Corriere della Sera, Rocco Siffredi il a également mentionné son autre frère, Tommaso, sans toutefois citer son nom. « Je me souviens de l’autre frère qui était là pour manger les dragées qui avaient été saupoudrées sur le corps de Claudio, comme c’était autrefois la coutume dans les Abruzzes.« .

Rocco Siffredi et Tommaso Tano : une relation absente

Rocco n’a pas mentionné le nom de Tommaso à cette occasion, car il avait mis fin à toute relation avec lui. « J’ai une relation très particulière avec ma famille : maman et papa sont morts et je n’ai plus parlé à mon frère aîné depuis dix ans maintenant.« .

C’est toujours: « Ce qui m’a fait le plus souffrir, c’est de voir ma mère toujours triste, ça m’a fait terriblement mal – ses paroles à AdnKronos – «Mon seul rêve était de l’aider à sortir de la pauvreté. Le porno m’a sauvé parce qu’il m’empêchait de penser à la douleur que je ressentais« .